Enquête sabotée ? Le FBI dans la tourmente après l’assassinat de Charlie Kirk

Un enregistrement audio récemment révélé met en cause la gestion des premières heures de l’enquête entourant l’assassinat de Charlie Kirk. Selon cet enregistrement, plusieurs instructions précises auraient été données aux agents sur le terrain : ne pas interroger immédiatement une personne d’intérêt pourtant identifiée comme prioritaire.

Alors que deux autres individus avaient été rapidement interrogés — voire brièvement détenus —, une consigne inhabituelle a circulé concernant un troisième suspect potentiel. On entendrait dans l’enregistrement :

« Conformément au SBI et au FBI, nous avons reçu l’instruction claire de NE PAS interroger. »

Une pratique inhabituelle ?

Dans les procédures classiques d’enquête pour homicide, interroger rapidement une personne d’intérêt est considéré comme une étape cruciale. Les premières heures sont souvent décisives pour collecter des informations fiables avant que les souvenirs ne s’effacent ou que des récits ne soient influencés.
Le fait qu’une instruction officielle ait demandé de retarder un tel interrogatoire interroge. Cela ouvre deux possibilités :

  • Raisons opérationnelles ou stratégiques : le FBI ou le SBI (State Bureau of Investigation) auraient pu avoir des motifs liés à la sécurité, à l’infiltration d’un réseau, ou à une coordination plus large.
  • Entrave ou négligence : si aucune justification solide n’émerge, cette décision pourrait être perçue comme une tentative de freiner, voire d’entraver, l’enquête.

Les critiques contre le FBI et Kash Patel

Cette révélation ravive les critiques récurrentes contre le FBI, déjà accusé par certains observateurs et figures politiques de manipuler ou de ralentir des enquêtes sensibles.
Le rôle de Kash Patel, ancien conseiller en sécurité nationale proche de l’administration Trump, est également mentionné dans plusieurs cercles critiques. Ses liens avec certains réseaux politiques font planer le doute sur une éventuelle influence dans la gestion du dossier.

Une affaire loin d’être close

Si les consignes rapportées par cet enregistrement sont confirmées, cela soulèvera des questions fondamentales :

  • Le FBI et le SBI ont-ils volontairement protégé un témoin ou un suspect ?
  • Cette décision relevait-elle d’une stratégie légitime ou d’une interférence politique ?
  • Qui, au plus haut niveau, a autorisé ou transmis cette consigne ?

À ce stade, l’absence de transparence nourrit la méfiance. Plus que jamais, la confiance du public envers les institutions fédérales dépendra de la capacité des autorités à justifier leurs décisions — ou à reconnaître des erreurs.

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